Le corps humain fonctionne à l’électricité ! Ce sont des décharges électriques qui déclenchent les mouvements du cœur pour envoyer le sang dans tout le corps ; ce sont des impulsions électriques qui transmettent les ordres du cerveau à tout le corps et c’est bien l’activité électrique du cerveau que mesure, comme son nom l’indique, l’électroencéphalogramme. L’électricité est le carburant du corps humain.
La terre est le plus grand émetteur d’électrons négatifs et c’est dans la terre que le corps humain peut le plus facilement trouver le « carburant » dont il a besoin. Depuis la nuit des temps, c’est en restant en contact avec la terre que le corps a puisé ses ressources vitales.
« Les réactions du corps humain, quand il est isolé des signaux subtils en provenance de la Terre, ont été révélées de façon spectaculaire par les expériences faites en Allemagne durant les années 1960 et 1970 à l’institut Max Planck célèbre dans le monde entier. Les chercheurs ont délibérément isolé des volontaires, pendant des mois entiers, dans des chambres souterraines protégées du champ électrique terrestre. Les caractéristiques de la température du corps, du sommeil, de la fonction urinaire et d’autres activités physiologiques ont été soigneusement notées.
Tous les participants présentèrent différentes anomalies, par exemple une sorte d’arythmie de la tête aux pieds. Ils avaient un sommeil perturbé avec des insomnies, une production hormonale déphasée et surtout une perturbation du système de régulation du corps.
On fit passer des pulsations électriques comparables à celles mesurées à la surface de la Terre à travers le bouclier métallique qui entourait les chambres souterraines : il y eut un retour spectaculaire des paramètres physiologiques normaux.
Ces études, qui ont impliqué des centaines de participants au cours de nombreuses années, ont démontré de façon évidente le rôle joué par les pulsations électriques de la Terre en ce qui concerne les fonctions biologiques normales. Les pulsations normales que l’on trouve dans le corps constituent un point de référence stable en vue de la réparation, de la guérison et du rajeunissement – bref, d’une parfaite santé.
Manifestement, le chaos biologique provoqué dans les expériences provoquerait au bout d’un certain temps une dégradation de la santé. En conclusion, l’horloge biologique du corps a besoin d’être continuellement remise à l’heure par le pouls de la Terre qui gouverne les rythmes circadiens de toute vie sur la planète. »
Depuis que je cherche – et partage mes découvertes sur ce blog – à comprendre le fonctionnement du corps et de l’esprit humains, il m’apparait chaque jour plus évident que l’état naturel de l’homme, c’est la bonne santé. Et que si nous sommes tous consciencieusement malades, c’est :
- Soit parce que cela arrange bien certains, qui s’enrichissent quand nous sommes malades,
- Soit parce que, il faut bien le reconnaître, nous faisons souvent n’importe quoi !
Elles se déclarent à la suite de petits péchés quotidiens à l’encontre de la nature.
Quand les péchés se seront accumulés en nombre suffisant,
les maladies apparaîtront soudainement ». Hippocrate
Voici encore un exemple de ce « n’importe quoi », de ces « petits péchés quotidiens » :
« Des expériences comme celle décrite ci-dessus, faites sous contrôle scientifique, fournissent des preuves spectaculaires. Cependant, nous ne vivons pas sous la Terre. Nous vivons au-dessus du sol mais pas vraiment sur le sol – et c’est là tout le problème. Nous sommes en rupture de contact. Vous pouvez peut-être vous regarder et observer de nombreuses personnes autour de vous et vous faire une idée des conséquences de cette rupture de contact. Il y a une multitude de maladies. Lisez simplement les statistiques sur la santé – plutôt sur les maladies – et vous verrez encore d’autres preuves qui, dans une plus ou moins grande mesure, indiquent un syndrome de rupture de contact.
Comment sommes-nous en rupture de contact, même si, de toute évidence, nous vivons sur la planète ?
Regardez ce que vous mettez quotidiennement à vos pieds.
La plupart d’entre vous portez une forme ou une autre de chaussures qui ont évolué depuis le temps où elles étaient de simples protections conçues pour protéger les pieds du froid et de l’état du sol. Il y a des chances que vous portiez quelque chose de beaucoup plus sophistiqué, une manière d’exprimer votre culture, la mode que vous suivez, votre façon de vivre et, dans bien des cas, même votre identification avec une superstar du tennis ou du basket-ball. Vous portez généralement des chaussures même quand elles ne servent à rien du point de vue pratique.
Feu le docteur William Rossi, podologue du Massachusetts, historien de l’industrie de la chaussure, auteur prolifique et observateur minutieux, [...] était singulièrement attentif aux risques potentiels pour la santé causés par la rupture de contact entre le corps et la Terre, qui résulte des chaussures modernes pourvues de semelles en matériau isolant.
« La plante du pied (ou surface plantaire) est étonnamment riche de quelques 202 terminaisons nerveuses par centimètre carré, écrivait-il en 1997 dans un article du Footwear News. C’est plus que ce que l’on trouve dans n’importe quelle autre partie du corps de dimension comparable. Pourquoi tant de terminaisons nerveuses sont-elles concentrées là ?
Pour nous maintenir en contact avec la Terre ! Le pied est le lien vital entre l’individu et la Terre » qui nous fournit l’électricité indispensable à notre survie et notre bonne santé.
Nous nous sommes privés de cette énergie vitale, sans le faire exprès, en inventant la chaussure moderne ; idem pour le goudron, produit pétrolier non conducteur ! Idem pour les lits modernes, surélevés, qui nous éloignent du sol sur lequel dormaient nos ancêtres !
Et nous manquons d’énergie, nous sommes fatigués, stressés… et parfois malades.
Je répète (à lire au premier degré) : Nous manquons d’énergie ! De cette énergie vitale que seule la terre peut nous offrir… (On la trouve également dans l’eau)
Heureusement, il existe des solutions adaptées à notre monde moderne.
Elle sont présentées dans le remarquable livre de Clinton Ober : Connectez-vous à la terre, d’où sont tirés les extraits ci-dessus.
J’en parlerai dans un prochain article…