Pourquoi je suis antivax

21 novembre 2021
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Je n’ai pas peur du Covid ! Parce que :

 

vaccination1. J’ai un très bon système immunitaire

J’ai un excellent système immunitaire et je cohabite harmonieusement depuis bientôt 70 ans avec des milliards de virus et de bactéries.

Pour bien comprendre ce que cela veut dire, revenons au début de l’histoire de la médecine moderne : Antoine Béchamps et Louis Pasteur s’opposaient farouchement pour défendre leurs théories.

Louis Pasteur défendait la théorie selon laquelle toute maladie infectieuse est causée par des micro-organismes provenant toujours de l’extérieur de l’organisme. Antoine Béchamps voyait à la maladie une origine interne. Il affirmait que toute matière organique est sujette à fermentation et que c’est cette fermentation qui, dans des cas de faiblesse de l’organisme, peut provoquer la maladie.

Pasteur, qui était chimiste, n’avait pas compris l’importance capitale du terrain et de la bonne santé d’un organisme comme élément essentiel de résistance à la maladie.

Indifférent à l’ambition personnelle, Antoine Béchamps négligera toujours toute publicité. Pasteur lui, était un homme médiatique, arriviste, génie de la publicité et des relations publiques. Pourtant, sur son lit de mort, il aurait reconnu la pertinence des travaux de son rival en énonçant cette phrase célèbre : « Béchamps avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout »

Evidemment, Antoine Béchamps est tombé dans l’oubli. Les scientifiques de l’époque ont retenu les conclusions de Pasteur, avant son ultime confession, et sa doctrine – la maladie est causée par des micro-organismes extérieurs au corps humain – a traversé le XXe siècle et domine encore actuellement la pensée médicale. Elle est également bien ancrée dans l’esprit de nos contemporains pour lesquels la maladie est exogène et contre laquelle nous ne pouvons nous défendre que grâce à une abondante pharmacopée. Il faut dire que cette doctrine ouvrait la porte à une exploitation industrielle du médicament et que certains industriels y trouvaient peut-être quelques intérêts…

En résumé : Un corps sain (le terrain) n’a rien à craindre des virus. Même s’il « attrape » un virus, il saura se guérir lui-même parce que l’organisme humain possède une extraordinaire faculté de restauration et de préservation de la santé. Il est capable de se réguler et se nettoyer tout seul, en l’aidant au besoin avec quelques vitamines (D et C notamment) bien connues pour leur faculté de renforcer les défenses immunitaires.

J’ai un très bon système immunitaire et, sans comorbidités, le risque pour moi de tomber malade est bien inférieur aux risques d’effets secondaires des vaccins.

Quant à l’argument qui consisterait à se faire vacciner pour protéger les autres… Il est complètement stupide puisque si « les autres » sont vaccinés, ils ne risquent rien !

 

Par ailleurs, l’utilité de la vaccination est largement surévaluée :

2. Les vaccins sont inutiles

vaccinerL’opinion publique leur prête le mérite de nous protéger de nombreuses maladies infectieuses et d’avoir éradiqué toutes les épidémies qui décimaient autrefois nos pays : typhus, diphtérie, coqueluche, scarlatine, tuberculose, méningite, tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, rougeole, oreillons, rubéole, etc. Pourtant, la vérité scientifique et historique m’oblige à dire, sans hésiter, qu’il s’agit là d’une pure mythologie : Les maladies citées ci-dessus avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. C’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent l’effondrement du nombre de morts par ces maladies tout au long du XXe siècle.

Prenons la diphtérie, par exemple : En Espagne, il y avait chaque année 5 000 morts de diphtérie en 1900, mais seulement 81 en 1964, l’année où la vaccination systématique fut introduite. En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre ! En Allemagne, il y avait 100000 cas de diphtérie par an pendant la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, et 250 000 en 1945. Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie baissa régulièrement, jusqu’à 800 annuellement en 1972 (une baisse de 99,2 %). En Norvège, 555 personnes moururent de diphtérie en 1908, mais seulement 2 en 1939. Le pays fut alors envahi par l’Allemagne, qui imposa le vaccin : le nombre de personnes touchées par la diphtérie monta à 22 787 cas en 1942 et près de 700 morts. Ces chiffres indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (guerre) et que les campagnes de vaccination sont malheureusement impuissantes à enrayer le phénomène.

En revanche, le retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagne d’un recul de la maladie, jusqu’à une disparition quasi totale. Ils indiquent également que les gouvernements sont capables d’introduire la vaccination systématique de la population pour une maladie quasi inexistante (cas de l’Espagne en 1964 ou de l’Allemagne en 1939).

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses. La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5 à 7 000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole (à partir de 1937) fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y ait eu de campagne importante de vaccination.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux États-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit. En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en… 1982.

Mais le cas le plus emblématique reste celui de la tuberculose. Censée être prévenue par le vaccin « BCG », cette maladie a en réalité plus vite régressé dans des pays comme la Belgique et les Pays-Bas qui ne vaccinaient pas leur population, qu’en France où tous les écoliers se faisaient vacciner. Aujourd’hui, alors que le BCG n’est plus obligatoire ni en Allemagne, ni en Angleterre, ni en Belgique, ni au Luxembourg, ni aux Pays-Bas, ni en Espagne, et qu’il n’est imposé en Italie qu’à certains adultes à risque (personnel de santé, militaires…), la France continue à vacciner religieusement des millions d’écoliers chaque année. Les études de l’INSERM sont pourtant sans appel : le nombre de décès par tuberculose avait déjà chuté de 80 % quand fut introduit le BCG obligatoire le 5 janvier 1950, malgré les très difficiles conditions de vie des années d’après-guerre. Les campagnes de vaccination n’ont ensuite eu aucun effet notable sur les courbes de la maladie. Celle-ci a continué à régresser au même rythme qu’auparavant, avec l’amélioration de l’hygiène et la généralisation de l’eau courante. Ce qui n’est pas étonnant quand on sait que le fait d’être vacciné contre le BCG ne protège ni de l’infection ni de la transmission de la maladie. Les personnes qui meurent aujourd’hui de la tuberculose en France ne sont nullement des personnes qui n’ont pas été vaccinées, mais des personnes marginalisées socialement et souffrant de dénutrition. Le problème est que le BCG comporte des risques importants d’effets secondaires, raison pour laquelle la vaccination obligatoire a été abandonnée dans les années 70 et 80 (sauf en France, où l’obligation n’a été supprimée qu’en 2007). C’est en effet un vaccin vivant, qui présente des risques, y compris de décès, aux enfants et aux personnes dont le système immunitaire est affaibli. Une étude réalisée à Barcelone a indiqué une baisse significative des cas de méningite chez les jeunes enfants après l’abandon des campagnes de vaccination au BCG.

Ce n’est donc nullement la vaccination qui a permis à nos sociétés de sortir des grandes épidémies, mais la prospérité économique.

Celle-ci a permis une amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et de l’habitat. Si ces conditions devaient se dégrader de façon significative, il est évident que, malgré tous nos vaccins, on assisterait à un retour en force de ces maladies, exactement comme cela fut le cas pendant la Seconde Guerre mondiale.

M. Macron a dit clairement dans son discours du 12 juillet 2021 qu’il lui restait 9 millions de doses sur les bras (sans compter les commandes en cours…) ; je suppose qu’il n’a pas envie de connaître le ridicule qu’a connu Mme Bachelot en 2010…

A part d’éviter ce ridicule à M. Macron (ce n’est pas mon problème !), je ne vois vraiment aucune bonne raison objective d’aller me faire vacciner.

Extraits de :

 

A lire aussi : Pourquoi le vaccin anti-grippe est inefficace

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Vieillir en bonne santé

Citations :

"La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne.
La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi."

Albert Einstein

"C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâtent tout ; et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies"

Molière

"L'homme ne meurt pas...
Il se tue !"

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