Le secret de la vie

14 novembre 2011
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D’abord, ce fut Desmond Morris, avec Le singe nu, le livre à mon avis le plus important après la Bible, qui expliquait entre autres choses tout aussi passionnantes qu’un chimpanzé détenu dans un zoo peut développer tout un tas de maladies que jamais il n’aurait connu dans son espace naturel. Les chimpanzés emprisonnés développent souvent, par exemple, des ulcères à l’estomac, maladies inconnues en brousse ! Stress, maladie psychosomatique ? Comment ne pas faire le rapprochement avec les humains qui, eux aussi, « enfermés » en ville peuvent développer des maladies que ne connaissent pas leurs cousins ruraux ? Problèmes d’environnement, seulement ?…

Puis il y eut Lavoisier avec son célèbre : « L’Homme ne meurt pas, il se tue… » qui tente de nous rappeler notre responsabilité personnelle en ce qui concerne notre santé. Peut-être que H1N1 est une horrible bébête qui peut me tomber dessus à n’importe quel moment, mais peut-être aussi que si je prends soin de mon corps et de ma santé, H1N1 ne pourra rien contre moi ou que même s’il parvient à me donner la fièvre, j’aurai suffisamment de défenses naturelles à lui opposer. Comment trouver le juste milieu, là où se trouve la Sagesse?

Tout cela me revenait en tête au moment où je refermais le livre de Marcel Violet que l’on m’a offert récemment : L’energie cosmique au service de la santé ou le secret de la vie

Marcel Violet y fait part de ce qu’il croit avoir découvert une quatrième catégorie d’ondes, les ondes biologiques, qui seraient la source de la longévité de certains êtres vivants… D’où le sous-titre de son livre : Le secret des patriarches.

Il n’est peut-être pas inutile de rappeler ici ce que sont les trois premières catégories d’ondes, phénomènes physiques à variations périodiques, dans lesquelles nous « baignons » en permanence, phénomènes (Vibrations, oscillations, radiations) dont on a pu mesurer jusqu’à aujourd’hui ceux dont la fréquence est comprise entre 0 et 10.24 (10 puissance 24) variations périodiques par seconde.

De 0 à 10.4 : Les vibrations de la matière :

Elles peuvent affecter la position de la matière (pendule, corde vibrante…) ou sa forme (contractions, dilatations…) ; on les désigne sous le terme général de « basses fréquences » ou « vibrations acoustiques »

Au-delà de 10.4 : Les oscillations électriques d’une fréquence allant jusqu’à environ 10.12 ; C’est le domaine de la T.S.F.

Au-delà de 10.12 : La nature fournit des radiations électromagnétiques : La lumière, les rayons X, le rayonnement gamma, les rayonnements cosmiques…

La fréquence du rayonnement cosmique le plus pénétrant est de l’ordre de 10.24.

Au-delà de 10.24, les longueurs d’ondes à détecter sont à l’échelle du milliardième de mu et, si l’on peut concevoir des appareils de détection de telles longueurs d’ondes, on ne peut malheureusement pas les réaliser. Ces fréquences ne sont observables que par certains de leurs effets secondaires, notamment dans le domaine biologique.

C’est en tous cas l’intuition de Marcel Violet qui a passé de nombreuses années à mettre en évidence ces effets biologiques dans l’élément que l’on retrouve en proportions importantes dans tous les corps vivants, animaux et végétaux : L’eau.

 

eau de vie

 

Quelques constatations, d’abord, comme par exemple le fait que tous les maraîchers connaissent le pouvoir accélérateur et fertilisant d’une pluie d’orage.

On a supposé que ce pouvoir venait de composés chimiques produits dans l’atmosphère par les décharges électriques, et solubilisés dans l’eau de pluie, en particulier de composés nitrés. Mais tous les essais tentés pour reproduire les eaux d’orage en leur donnant la composition chimique observée ont échoué. Leur pouvoir n’est donc pas de nature chimique.

Les maraîchers font séjourner l’eau destinée à l’arrosage de leurs légumes dans des bassins peu profonds exposés aux rayons solaires, et ne l’utilisent qu’après une assez longue exposition. L’eau s’échauffe ainsi légèrement et l’on croit habituellement que c’est là ce qui la rend plus active. Ce n’est pourtant pas exact car la même eau, chauffée artificiellement, sans être exposée aux rayons solaires, n’acquiert aucun pouvoir fertilisant spécial.

On peut en conclure que les pluies d’orage ont des propriétés tout à fait spéciales en rapport avec les phénomènes biologiques et qui, pour autant que l’analyse permette de l’affirmer, ne sont pas de nature chimique.

Il est évident que si l’on pouvait identifier et canaliser ces phénomènes, on disposerait d’un moyen d’agir directement sur la vie.

Viennent ensuite les expérimentations de Marcel Violet : « A l’époque où je recherchais, pour mes travaux, une eau chimiquement pure, j’ai fabriqué plusieurs litres d’eau synthétique en condensant dans un serpentin refroidi les gaz de combustions d’une flamme d’hydrogène.

Ayant mis dans un cristallisoir environ un litre de cette eau, j’y déposais un têtard de grenouille, tout frétillant. L’animal s’immobilisa presque instantanément, membres tendus : Il était mort ! Je fis barboter de l’air dans cette eau pour l’aérer, puis j’y mis un second têtard. Le résultat fut le même.

J’enfermais alors cette eau synthétique aérée dans un ballon de verre, le scellais au chalumeau puis déposais le ballon sur mon balcon. C’était l’été. Un mois après, je repris le ballon, brisais la pointe et le vidais dans un cristallisoir. Dans cette eau, je mis à nouveau des têtards… Ceux-ci, loin de s’immobiliser comme leurs frères, un mois auparavant, frétillèrent et prospérèrent.

Cette « eau de mort » était, après exposition, devenue une eau « vitale ».

La preuve semblait faite : Une eau ordinaire, soumise aux radiations dans lesquelles le globe terrestre est baigné, s’imprègne de ces radiations. Elle devient vitale et entretient la vie ! Mais chauffée à plus de 65° C. ou mise en contact prolongé avec un métal, elle perd ses radiations et redevient une eau de mort.

Pourtant, elle reste, chimiquement, toujours identique à elle-même !

Suivent nombre d’autres essais et expérimentations sur l’animal, le végétal et l’être humain qui toutes mettent en évidence, après absorption de cette eau vitale, une meilleure croissance, une plus grande longévité et une absence totale de maladies.

Suivent aussi une hypothèse et quelques questions liées au bilan de l’homme civilisé :

L’hypothèse : « Tout être vivant, et en particulier l’homme, a besoin au cours de sa vie d’une quantité définie de radiations biologiques. S’il ne la reçoit pas, sa vie diminue parallèlement en intensité et en durée. »

Nous savons tous, pour l’avoir expérimenté, que l’on se trouve mieux au bord de l’eau ou au soleil que dans une cave…

Les questions :

-  « On sait que tous les mammifères supérieurs ont une durée de vie normale, entre la naissance et la mort naturelle, approximativement égale à sept fois la durée de la croissance de l’organisme, sauf l’homme qui, à l’heure actuelle, atteint rarement 100 ans, c’est-à-dire cinq fois son temps de croissance. Pourquoi ?

-  Il y avait, au temps de Napoléon 1er, toujours 10 à 15 français connus dont l’âge dépassait 115 ans. Pourquoi cette longévité relativement fréquente alors a-t-elle complètement disparu dans les pays civilisés, alors que la durée moyenne de la vie n’a cessé de croître ?

- Il y a encore dans quelques contrées des hommes qui atteignent un âge très avancé. Les statistiques montrent que tous ces « patriarches » modernes vivent dans des régions montagneuses. Pourquoi ? Quelle est la différence essentielle, de ce point de vue, entre montagne et plaine ?

- Les livres sacrés, les traditions anciennes, sont unanimes à mentionner des générations d’hommes qui vivaient beaucoup plus longtemps que l’homme actuel (patriarches…). L’homme a-t-il possédé autrefois des moyens qui permettaient de ralentir les processus de vieillissement, d’acquérir une supériorité remarquable sur les autres mammifères ?

- Pourquoi tous les animaux monstrueux qui ont peuplé autrefois la terre ont-ils disparus, sauf ceux qui vivent dans l’eau ?

- Pourquoi la maladie tend elle à devenir l’état normal, non seulement de tous les hommes, mais également des animaux et des plantes ?

- Pourquoi tous les êtres supérieurs tendent ils à dégénérer alors qu’au contraire les animaux inférieurs (insectes, par exemple) et les organismes élémentaires prennent un développement de plus en plus grand ?

- Y-a-t-il à la surface de la terre, par rapport aux périodes préhistoriques, une diminution de l’intensité de l’influence des facteurs qui ont organisé la vie, en particulier des ondes biologiques, et un affaiblissement consécutif de la vigueur des organismes supérieurs ?

- Si oui, à quoi est due cette décadence et est-il possible d’en compenser les effets ? »

Marcel Violet formule des réponses…

- La qualité de l’eau a profondément changé et, entre autres choses, son contact avec le métal des canalisations en ont fait une eau morte,

- La cuisson de l’eau contenue dans les aliments (pasteurisation…) la prive de ses ondes biologiques,

- La peau, l’autre grand vecteur d’absorption des ondes biologiques, est empêchée chez l’homme moderne d’être baignée par les rayonnements bienfaisants qui proviennent du cosmos…

… propose des solutions simples et va même jusqu’à inventer un Bio-Oscillateur*, machine à « recréer » de l’eau vitale !

Tout cela est tellement lumineux qu’on peut se demander pourquoi les solutions de Marcel Violet ne sont pas plus connues du grand public ? La réponse étant certainement chez certains qui ont plus intérêt à avoir affaire à des consommateurs de médicaments qu’à des hommes sains !

Le livre de Marcel Violet, L’energie cosmique au service de la santé ou le secret de la vie est disponible : ici

 

* Marque déposée

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3 Responses to Le secret de la vie

  1. Frédéric on 6 juin 2013 at 16 h 44 min

    Effectivement on peut aussi comparer les maladies qui font des ravages dans les sociétés occidentales et qui ne touchent quasiment pas d’autres civilisations. Merci pour cet article très intéressant.

  2. PETITCLERC on 11 août 2013 at 8 h 39 min

    Ou peut-on de procurer le Bio-Oscillateur Familial Violet
    Merci de m’indiquer une adresse
    Quels sont les prix des différents modèles
    Merci d’avance et salutations

    • Svelte on 31 août 2013 at 21 h 09 min

      Bonjour
      Vous pouvez vous procurer le bio-oscillateur (Il n’y a qu’un seul modèle) auprès du Laboratoire Marcel Violet, 82, rue Saint Lazare, 75009 Paris, au prix de 839 € (+ 12 € de frais de port)
      Cordialement

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Vieillir en bonne santé

Citations :

"La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne.
La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi."

Albert Einstein

"C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâtent tout ; et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies"

Molière

"L'homme ne meurt pas...
Il se tue !"

Lavoisier

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