Le cancer n’est pas une fin !

6 octobre 2013
By

Le New York Times a publié en octobre 2012 un article extraordinaire intitulé « L’île où les gens oublient de mourir » (The Island Where People Forget To Die).

Il rapporte l’histoire d’un combattant de la seconde Guerre mondiale d’origine grecque, Stamatis Moraitis, qui partit s’installer aux États-Unis après l’Armistice. Alors qu’il avait adopté le style de vie américain, avec villa en Floride, deux voitures, trois enfants, Stamatis Moraitis apprit en 1976 qu’il avait un cancer des poumons. Neuf médecins confirmèrent le diagnostic et lui donnèrent neuf mois à vivre. Il avait 62 ans.

Il décida alors de retourner avec son épouse sur son île natale d’Icare, en mer Egée, pour y être enterré aux côtés de ses ancêtres dans un cimetière ombragé surplombant la mer. Stamatis s’installa dans une maisonnette blanchie à la chaux, au milieu d’un hectare de vignes escarpées, sur la côte nord-est d’Icare, et se prépara à mourir…

D’abord, il passa ses journées au lit, soigné par sa mère et sa femme.

Mais bientôt, il redécouvrit la foi de son enfance, et commença à se rendre, chaque dimanche matin, à la petite chapelle grecque orthodoxe en haut de la colline, où son grand-père avait été pope. Lorsque ses amis d’enfance apprirent son retour, ils commencèrent à lui rendre visite chaque après-midi. Leurs conversations pouvaient durer des heures, et s’accompagnaient invariablement d’une ou deux bouteilles de vin du cru. « Autant mourir heureux », se disait Stamatis.

Pendant les mois qui suivirent, quelque chose d’étrange se produisit. Il dit qu’il commença à sentir ses forces le regagner.

Un jour, se sentant entreprenant, il planta quelques légumes dans son jardin. Il ne projetait pas de les récolter lui-même, mais il appréciait le soleil, et respirer l’air de la mer. Il faisait cela pour sa femme, pour qu’elle puisse profiter des légumes quand il serait parti.

Six mois s’écoulèrent. Stamatis Moraitis était toujours vivant. Loin d’entrer en agonie, il avait agrandi son potager et, sentant ses forces revenir, il avait aussi nettoyé la vigne familiale. S’accommodant de mieux en mieux du rythme de vie paisible de la petite île, il se levait le matin quand bon lui semblait, travaillait à la vigne jusqu’en début d’après-midi, se faisait un bon déjeuner, puis enchaînait sur une longue sieste.

Le soir, il prit l’habitude de se rendre à la taverne du coin, où il jouait aux dominos jusqu’à une heure avancée. Les années passèrent. Sa santé continua à s’améliorer. Il ajouta quelques pièces à la maison de ses parents. Il développa la vigne jusqu’à produire 1500 litres de vin par an.

Aujourd’hui, 35 ans plus tard , il a atteint 97 ans (selon un document officiel qu’il conteste car lui affirme en avoir 102) et il n’a plus le cancer . Il ne suivit jamais de chimiothérapie, ne prit aucun médicament d’aucune sorte. Tout ce qu’il fit fut de partir pour Icare.

Dans cette histoire extraordinaire, extraite du dossier spécial : « Cancer : Toutes les solutions naturelles » de jean-Marie Dupuis et son équipe du journal Alternatif Bien-être, on retrouve les trois piliers de l’action anti-cancer que sont la  Nutrition, l’activité physique et la gestion des émotions, personnelles et « sociales ».

Icare n’est sûrement pas le seul endroit du monde où l’on peut revivre, mais ce qui est sûr, c’est que beaucoup d’endroits où nous vivons sont plus propices aux développements de cancers qu’à une vie saine.

Le dossier spécial cancer complet, qui explicite les trois piliers de l’action anti-cancer, vous est offert gratuitement pour tout abonnement (19 € seulement) à « Alternatif Bien-être« 

Tags: , , , , , ,

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vieillir en bonne santé

Citations :

"La théorie, c’est quand on sait tout et que rien ne fonctionne.
La pratique, c’est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi."

Albert Einstein

"C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâtent tout ; et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes et non pas de leurs maladies"

Molière

"L'homme ne meurt pas...
Il se tue !"

Lavoisier

Le saviez-vous ?

Des Cours de Bonheur sont dispensés à Harvard

La maladie… Une fatalité ?

Quand on écoute les grands médias français, on a l’impression que la maladie est une fatalité ; quelque chose comme le ciel qui nous tombe sur la tête comme aurait pu dire Obélix.

Il y a pourtant longtemps que l’on sait l’influence de l’esprit sur le corps et la maladie…Lire la suite

Eliminez, éliminez…

Connaissez-vous la méthode de Louis Kuhne pour ne pas tomber malade ?
Ca, c’est mon interprétation… parce que, à l’origine, le livre de M. Kuhne présente une méthode de guérison.
Méthode de guérison révolutionnaire et toujours d’actualité, même si elle date de la fin du XIXème siècle !
C’est mon interprétation, parce que la méthode de M. Kuhne repose sur une analyse fine de la façon dont le corps tombe malade ; et quand on a compris le mécanisme de la maladie, il est plus facile d’éviter celle-ci... Lire la suite

Recommandations :

Newsletter

Soyez prévenu dès la parution d'un nouvel article